Mes outils / la gestion du deuil
Faire son deuil c’est guérir de la souffrance associée à la perte, afin de continuer à vivre pleinement…
Malheureusement, le deuil fait partie de la vie. Qu’il s’agisse d’une mort subite, d’un diagnostic consternant ou d’un autre type de choc terrible, toutes les situations difficiles nous mettent à dure épreuve. Les sentiments éprouvés à l’égard du deuil et la façon de le gérer varient d’une personne à l’autre. Cependant, quelle que soit la réaction, les émotions, un deuil peut déséquilibrer la personne la plus résiliente et lui donner l’impression qu’elle n’exerce plus aucun contrôle sur sa vie.
Même s’il n’existe pas de solution miracle pour aider les personnes à se rétablir, il est possible de gérer les répercussions que cet événement entraîne dans sa vie et d’apprendre à accepter la réalité. Prendre le temps de se rétablir après un deuil important.
Bon nombre de personnes se fixent des attentes irréalistes à l’égard de leur retour à une vie normale. Prendre le temps de bien guérir ; être conscient qu’il ne s’agit pas d’un processus étape par étape et qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de gérer le deuil. Vivre un jour à la fois et reprendre graduellement une routine quotidienne. Au début, peut-être l’impression qu’il est plus facile de se replier sur soi-même et de se cacher plutôt que de se faire accompagner…
Le deuil vécu par les enfants
La façon d’aider un enfant à vivre son deuil dépendra de son âge et de l’étape de sa vie, mais aussi de son développement, de ses antécédents et de ses expériences antérieures en matière de deuil. Les enfants ont besoin de savoir ce qui se passe, de comprendre la situation ou ce qu’ils ressentent ; Parler aux enfants de son propre chagrin n’est pas chose facile, mais c’est leur expliquer qu’ils ont le droit d’être tristes ou d’avoir peur. Exprimer
ouvertement ses sentiments, les enfants seront portés à faire la même chose avec les adultes. Toutefois, il est important de leur montrer qu’ils sont en sécurité et soutenus. Aidons les enfants à comprendre le deuil.
L’enfant qui grandit vit un processus continu de changements (passage de la nounou à l’école, changement de situation familiale…) Si ces changements sont vécus de façon appropriée, les enfants vont mieux gérer les changements inévitables de leur vie, que ces changements soient bons ou non. Le chagrin et le deuil causés par le décès d’un être cher, la maladie ou une autre situation difficile peuvent avoir des répercussions importantes sur
votre santé mentale et physique, et ils pourraient même re définir votre identité. Chaque expérience personnelle du deuil est unique, tout comme la façon dont chaque personne décide de le gérer.
Le temps et l’accompagnement sont vraiment les meilleurs remèdes au deuil et au processus de guérison de la douleur qu’il entraîne. Même si cette guérison exige du temps, de l’énergie et des efforts, vous pouvez réussir à adoucir vos émotions en accompagnement…
Se libérer vraiment de ses émotions?
Au cours du chemin de deuil, il est amené à traverser un grand nombre d’états émotionnels : Passer du choc et sidération, déni, colère, peur/dépression, tristesse, acceptation, pardon, quête du sens et renouveau, à la sérénité et paix retrouvée.
Vivre les émotions violentes du deuil peut faire peur. La crainte de perdre le contrôle est paralysante, pourtant c’est bien parce qu’elles sont violentes que ces émotions ont besoin d’être libérées. Vous pouvez être sûr que vous vous sentirez mieux une fois que vous aurez relâché un peu de cette pression qui ajoute du poids à votre souffrance.
Donner libre cours à vos émotions et les épuiser peut vous permettre de ne pas vous laisser submerger, et de ne pas laisser la colère affecter tous les aspects de votre vie.
Nous comprenons votre souffrance, vous avez le droit d’être en colère au vu de l’injustice que vous traversez. L’important est de trouver une manière qui vous convient pour vivre ces émotions : écriture, sport, échange, marche… Et la kinésiologie peut vous permettre d’accueillir ces émotions sans jugement.
La mort met souvent mal à l’aise, celle d’un enfant encore plus…
Deuil périnatal
Chaque deuil est singulier, chaque parent est différent de l’autre et l’histoire de chaque bébé est unique. Une docteur en psychologie, Emmanuelle ZECH, estime que 80 % des paroles de l’entourage sont vécues comme étant non soutenantes face à un deuil.
L’amour est bien réel et ne se rapporte pas au nombre de jours passés avec un enfant, ni au nombre de semaines de grossesse.
« la nature est bien faite » : ce genre de phrase place le bébé au rang de simple chose que la nature aurait intelligemment évacuée.
« ça arrive à plein d’autres femmes » : les parents touchés par quelque chose de violent, cette phrase n’a rien de réconfortant, au contraire, elle a tendance à banaliser les drame des parents.
« il faut passer à autre chose » : chaque deuil suit son propre rythme et rien ne sert de vouloir le compresser.
Ma démarche est de vous accompagner et de vous aider à libérer ces états émotionnels,
après ces épreuves aussi bien physique que émotionnelle.
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